Installé pour protéger les conducteurs mais également certains accessoires des engins mobiles, le pare–choc peut être endommagé pendant des collisions. Du coup, il est essentiel de le poncer afin d’enlever les raflures qui semblent laides. Mais, comment le faire et avec quel type de grains ? Comment appliquer le vernis et rendre la finition agréable ? Découvrez quelques conseils dans cet article pour y parvenir.
Le ponçage, c’est quoi ?
Afin de mieux garantir la protection des conducteurs, les fabriquants installent un pare–choc à l’avant et à l’arrière d’une voiture. Ce dispositif les protège plus ou moins contre les éventuels chocs survenus lors d’un accident avec une moto ou une auto. Du coup, le pare–chocs reçoit tous ces affrontements ou coups. Ainsi, il comporte généralement des rayures, des fissures ou éraflures qui abîment le vernis et la peinture. Ce qui est bien dommage pour la carrosserie et qui a besoin de réparation dans ce cas. Pour ce faire, des travaux de ponçage semblent nécessaires.
Le ponçage consiste donc à apporter un certain nombre de soins à l’outil afin de lui redonner son éclat d’avant. À cet effet, les travaux assurent l’élimination des tâches et rayures. Ce qui nécessite l’utilisation de quelques accessoires et matériels comme le papier.
Les papiers dotés de meilleurs grains
Il est bien vrai qu’il existe une pluralité de papiers qui servent à poncer des pare–chocs en plastique. Toutefois, la meilleure alternative est d’opter pour celui qui est idéal afin d’obtenir une finition impeccable. Alors, le choix se fait en considérant le degré de l’incident. Et la meilleure qualité de papier est celui qui dispose de grains.
En outre, il faut commencer par les papiers de 400 afin de remettre en bon état le pare–choc d’une voiture. Puis, après il devient possible de servir progressivement des papiers 800 et 1200 pour redonner de la couleur au dispositif.
Veillez à bien mouiller les zones de traces avant l’application du papier en grain.
La finition des travaux
Les plastiques sont à installer quand le dispositif est bien poncé. Afin de réussir la finition ou la pose, il va falloir recourir à certains équipements comme une mousse à polissage sur des ponceuses orbitales. Il est nécessaire de s’assurer que le plastique ne chauffe pas. D’où, comme susmentionné, la nécessité de mouiller les tampons ou mousses avant de commencer à mettre le produit sur l’espace humide qui a reçu le choc. De grâce, procédez à la création de petits cercles bien serrés sur les zones des plastiques qui sont rayés.
En dehors de cet élément, il est aussi envisageable d’utiliser du mastic. Idéal pour les problèmes de fissuration, il suffit d’enlever l’excès de mastic et le tour est joué !
De plus, dans l’objectif de parfaire son travail, le mieux serait de peindre la partie des éraflures. Alors, le choix doit se porter sur une peinture de couleur identique que pour la carrosserie afin de conférer plus d’harmonie à son véhicule. Ou soit, employer carrément la peinture originelle de la carrosserie. Enfin, il faut mettre du vernis sur l’ensemble du travail effectué. La réparation est alors finie. Ce qui redonne de l’esthétique à votre auto. L’intervention d’un carrossier-peintre semble nécessaire pour travailler non seulement sur le vernis et la peinture de la carrosserie mais aussi sur le moteur et le radiateur.
Somme toute, le pare–choc assure essentiellement la protection du moteur de la moto et la carrosserie d’un véhicule au cours d’un événement brutal. Pour réussir à mieux le poncer, les gros et fins grains sont utilisables.